Les séries X

Ils sont identifiables grâce au tatouage qu'ils ont sur la nuque. Il s'agit d'un code-barres composé de 12 chiffres. Les trois derniers chiffres, associés à leur numéro de série X, permettent de les identifier.

- X1

- X2

- X3

- X4

- X5

- X6

Nombre estimé : 120

Années de conception estimées : 2002-2005

Ils ont été créés au départ pour être plus forts et plus rapides que les X5 qui ont servi de modèles à leur conception. Cependant, voulant éviter les déconvenues intervenues avec les X5, les dirigeants ont décidé de les rendre plus obéissants et loyaux envers Manticore, limitant ainsi leur esprit d'initiative et leur faculté d'autonomie pour éviter toute tentative d'évasion. Ils ont par là même détruit ce qui faisait des X5 une série si spéciale : leur esprit de loyauté envers leur unité.

Cette totale soumission explique notamment pourquoi les X6 ont été moins prompts à accepter la trahison de leur commandement lors de l'autodestruction de Manticore dans la saison 2, et pourquoi ce sont eux qui ont en majorité répondu au signal de ralliement envoyé par les "équipes de nettoyage" les conduisant à la mort.

C'est pour les mêmes raisons que ceux qui ont survécu à l'épuration ont en majorité rallié Terminal City et aidé ceux qui s'y trouvaient avec la même loyauté qu'ils avaient donné à Manticore.

- X7

Nombre estimé : 90

Années de conception estimées : 2007-2010

On présume qu'ils ont été créés pour la collecte de renseignements, car doués de capacités cérébrales leur permettant d'effectuer des transferts d'informations sur de longues distances facilement et de manière indétectable. Ils ont également une grande dextérité au combat. Leur soumission à Manticore est totale.

Il existe 2 versions de X7 :

- Les répliques X5 (nombre estimé à 30). Ils ont été conçus à partir de l'ADN des X5 sélectionnés parmi les meilleurs, notamment les évadés de 2009. Ils sont entraînés pour des opérations collégiales. Ce sont de très bons combattants en groupe.

- La ruche X7 (nombre estimé à 60). Conçus pour les opérations secrètes, ils ont tous la même apparence, répliques multiples d'un seul et même soldat. Ils communiquent entre eux grâce aux ultrasons qu'ils émettent (ils ont reçu de l'ADN de chauve-souris). Ces informations sont ensuite décryptées par un programme informatique spécialement conçu pour eux. Comme la première version de X7, ils n'agissent qu'en groupe. Ils avaient notamment pour mission de défendre la base expérimentale de Manticore contre d'éventuelles intrusions ou d'éventuelles évasions.

Même après la chute de Manticore, les X7 vont rester fidèles à leur commandement et vont même être utilisés pour chasser les transgéniques en fuite.

 

- X8

Nombre estimé : 60

Années de conception estimées : 2013-2015

Les coûts élevés de "production" et la baisse des subventions accordées à Manticore font des X8 un groupe peu nombreux et non pourvu de la même attention génétique que leurs prédécesseurs X7. Ils sont divisés en petites factions et n'ont pas reçu le même entraînement que les autres soldats et ne se voient par conséquent confier que des tâches d'importance secondaire. Ils ont tout de même été entraînés au combat au corps-à-corps, au maniement des armes, à la surveillance, au sabotage et à la collecte d'informations, dans des proportions moindres que les autres séries avant eux.

- Générations X suivantes

Après la destruction de la base de données ADN de Manticore leur permettant de concevoir leurs soldats, les dirigeants semblent avoir décidé que les X5 eux-mêmes allaient porter la prochaine génération de soldats X. Ils ont mis en place un "programme de copulation", rassemblant les soldats par paire génétique pour féconder les jeunes femmes. Les premiers résultats n'ont pas été à la hauteur des espérances des instances dirigeantes et le programme fut interrompu à la destruction de la base secrète de Manticore. Nous ne savons pas combien d'enfants sont nés de ce programme et combien - s'il y en a - ont des capacités dignes de leurs concepteurs.

 

Rédigé par : clavel41.
Modifié par : mitron, kimiM.